Aujourd'hui, je n'assistais pas
à une projection d'images et de sons ; j'assistais
à l'action visible et instantanée qu'ils exerçaient
les uns sur les autres et à leur transformation. La
Pellicule Ensorcelée.
Robert Bresson Notes sur le cinématographe.
Comme toute belle plante, Daphné bourgeonne, éclot, embaume et s’effeuille. Mais ne se laisse jamais cueillir...
Combinant animation et prise de vue en continu, Daphné ou la belle plante est un documentaire dressant le portrait d’une femme impudique et sensible qui nous parle d’abord de son corps puis de son cœur. Sans langue de bois.
Production : Jean-Christophe Soulageon, Les Films Sauvage
Stan et Léa ne vivent plus en couple depuis des mois... Pourtant Léa propose à Stan de passer une dernière nuit ensemble comme une "madeleine de Proust"...
En des temps difficiles, un meunier vend sa fille au Diable.
Protégée par sa pureté, elle lui échappe mais est privée de ses mains.
Cheminant loin de sa famille, elle rencontre la déesse de l'eau, un doux jardinier et le prince en son château.
Un long périple vers la lumière...
-"De cet implacable récit métaphorique sur la noirceur de la nature humaine, Sébastien Laudenbach tire un film d'animation lumineux, une œuvre qui ne cesse de se réinventer sous nos yeux."
Cécile Mury, Télérama
-"L’histoire est ancienne. A la découvrir sous les traits du merveilleux film d’animation de Sébastien Laudenbach, présenté cette année à Cannes par l’ACID (Association du cinéma indépendant pour sa diffusion), on a pourtant l’impression qu’elle a été imaginée hier, ou même qu’elle s’invente sous nos yeux à mesure qu’elle se montre."
Noémie Luciani, Le Monde
-"Pourquoi film dessiné ? Parce que La Jeune Fille sans mains est typiquement un de ces films d’animation qui n’arrachent pas la mobilité virtuelle des formes à leur essence fixe. Le support ne s’estompe pas derrière un univers dynamique de forces et de mouvements, les corps ne sont pas toujours soumis à la gravité terrestre ou à l’inertie de leur course, mais à la liberté du trait et aux caprices de la couleur."
D’octobre 96 à mars 97, le journal intime de l’auteur, au rythme des séquences animées au jour le jour, selon les événements, les sensations, les souvenirs, les humeurs…
Prix de la Jeunesse à Clermont-Ferrand, Prix TV Rennes, Prix du Jury à Wissembourg…
Oana travaille. Et moi je la regarde. Ce soir, ce dernier dossier sera plié. Elle ne veut plus traduire les mots des autres. Elle pense que demain elle va commencer à écrire pour elle. Mais elle ne le fera pas. Je le sais....
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