Aujourd'hui, je n'assistais pas
à une projection d'images et de sons ; j'assistais
à l'action visible et instantanée qu'ils exerçaient
les uns sur les autres et à leur transformation. La
Pellicule Ensorcelée.
Robert Bresson Notes sur le cinématographe.
Des êtres étranges habitent les murs et les profondeurs des Baden et de Buenos-Aires.
“Silver Pegasus” for the second best film: Animator Festival 2008, Poznan, PL.
Original Design: Animation Block Party 2008, New York, USA.
“Bloody Cow Award” for the best film of the festival “Muuuvi” 2008. Làzàrea, Romania.
Second Prize: “FestAnca” 2008. Zilina, Slovakkia.
“Best short-film” ex-aequo: “Coerto per scelta” 2008.Marche, Italia
Rencontre inattendue dans le couloir d’un passage routier autour de la musique remixée du célèbre Chantons sous la pluie dansé et chanté par Gene Kelly.
Au cours de l’été 2001, tout autour de Londres, des gens dansent dans des moments privilégiés, des petits abandons intimes. Le film est le résultat d’un travail entrepris par la réalisatrice/chorégraphe qui cherchaient des « danseurs de salons », des gens qui aimaient danser derrière les portes closes.
« Ce que j’aime le plus dans Human Radio, c’est la façon de filmer, l’empathie du film avec les danseurs. La réalisatrice sait capter des détails pour nous montrer les personnalités profondes de ces gens qui dansent chez eux. Les angles de la caméra souligne la danse. Ces gens « ordinaires » sont filmés avec amour et attention comme si elle filmait Baryshnikov. Les danses deviennent exubérantes, hésitantes, habiles ou mélancoliques, comme les nôtres peut-être. » Charlotte Shoemaker, "Dance on Camera Journal" - 2003
Une fresque défile sous nos yeux au sons de travaux omniprésents mais lointains. Cette peinture représente un paysage de type méditerranéen. On y distingue plus particulièrement trois acteurs : un cactus, un cyprès et un olivier. Après avoir découvert la fresque en une longue virgule au banc-titre, la caméra se fige. Sans trop y prêter l’oreille, des éboulis parsemaient le parcours. C’est maintenant qu’on en découvre les origines : une branche d’olivier a fait craqueler le mur. Ce mur c’est celui qui sépare Israël de la Palestine.
Et cet olivier rebelle n’est pas seul, peu à peu toute la fresque s’anime; surtout nos trois acteurs principaux hâtifs de se libérer de leur gangue de béton. Une partie du mur est écroulé, on pourrait être optimiste, si le dernier travelling ne venait gâcher la brèche…
Une fresque défile lentement sous nos yeux, comme dans un énième épisode de ’Palette’. Cette peinture en trompe-l’œil représente le paysage situé derrière ce mur. Elle le nie, elle se rebelle contre lui. Un mur récemment construit à Jérusalem…
2004 / 35 mm / 5' / France / Couleur / Noir & Blanc
De petites poupées de chiffon retrouvent leur créateur mort dans son atelier. Ne comprenant pas ce qui est véritablement arrivé, elles vont essayer de retrouver leur quotidien auprès du mort
2005 Poitiers "Rencontres internationales Henri Langlois" mention spéciale du meilleur film français pour sa qualité photographique
2005 Lille "Festival international du court métrage" premier prix
2005 Clermont-Ferrand "Festival du Court Métrage"
2005 Annecy "Festival du film d’animation" prix du meilleur film d’école ou de fin d’étude
2005 Paris "Festival Court 18"
En un plan-séquence, la caméra suit un danseur talentueux qui évolue comme par enchantement dans différents univers spatio-temporels. Son port d’athlète et quelques surprises entraînent le spectateur dans un monde qui vacille entre le réel et l’impossible.
Londres est une grande ville qui peut parfois sembler tout à fait effrayante. Tomoko est une jeune japonaise fraîchement débarquée à Londres avec son masque et son tuba dans ses bagages. Elle est bien loin de se douter qu’elle s’apprête à découvrir un mystérieux secret caché sous la ville…
Un voyage visuel et sensoriel dans l’esprit foisonnant d’un corps paralysé.
« C’est par le mouvement qu’on s’approprie sa propre vie. Par la liberté d’aller, de venir, d’avoir des gestes d’amour, de colère, peu importe. Quand on est privé du mouvement comme je le suis, si on veut survivre, il faut ré-inventer le mouvement autrement. »
Benoît Labaye, conseiller communal écologiste
Inspiré de l'œuvre de Pablo Picasso et du mythe du labyrinthe du Minotaure, ce film est un voyage dans les limbes de la création artistique.
Prix du Public à Bradfor (Grande-Bretagne) et Carabanchel (Espagne), Meilleur film d’Animation à Girona, Gerez et San Roque (Espagne), Grand Prix à Matita (Italie)…
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