Aujourd'hui, je n'assistais pas
à une projection d'images et de sons ; j'assistais
à l'action visible et instantanée qu'ils exerçaient
les uns sur les autres et à leur transformation. La
Pellicule Ensorcelée.
Robert Bresson Notes sur le cinématographe.
Cheyenne, jeune journaliste en fin de droits, décide de quitter Paris pour mener une vie marginale à la campagne.
Elle laisse derrière elle la femme qu’elle aime, Sonia, prof de physique-chimie dans un lycée parisien, qui fait tout ce qu’elle peut pour l’oublier… Mais ça n’est pas si facile.
« Oublier Cheyenne » est une fable contemporaine sur la nouvelle précarité, le besoin de changer les choses, et la puissance de l’amour.
"Oublier Cheyenne" est une tragicomédie sceptique, un film de nos temps post-utopiques. On ne l’oubliera pas. Les Inrockuptibles, Serge Kaganski.
"Oublier Cheyenne" est un film subtil et aigu, magnifiquement découpé. Positif, Jean-Christophe Ferrari
Un film qui ne sombre pas dans la noirceur, évite les clichés liés à la marginalité et la morale à trois balles. L’Humanité, Marie-José Sirach.
Laurence Côte, Milla Dekker, Guilaine Londez, Aurélia Petit, Malik Zidi
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Festival "Jamais trop tard pour bien voir"