Aujourd'hui, je n'assistais pas
à une projection d'images et de sons ; j'assistais
à l'action visible et instantanée qu'ils exerçaient
les uns sur les autres et à leur transformation. La
Pellicule Ensorcelée.
Robert Bresson Notes sur le cinématographe.
Portishead est un groupe de trip hop originaire de Bristol, Royaume-Uni, nommé d’après la petite ville de Portishead, dans le Somerset, à 20 kilomètres à l’ouest de Bristol.
Le groupe s’est formé en 1991, après que Geoff Barrow, qui avait précédemment travaillé avec d’autres artistes trip-hop de Bristol - Massive Attack et Tricky - ait rencontré Beth Gibbons.
Pendant son année passée à travailler sur les effets spéciaux du films « A.I » de Stanley Kubrick (adapté plus tard par Spielberg), Chris Cunningham n’avait qu’une idée en tête: réaliser ses propres vidéos.
Sa rencontre, en 1995, avec Sean et Rob du groupe Autechre, lui permis de faire son tout premier vidéo-clip.
Ses inspirations lui viennent en marchant dans la rue, en écoutant de la musique: «parfois un son dans une musique déclenche chez moi un souvenir ou un rêve qui lance le processus...».
La popularité de ce groupe islandais commenca è croître graduellementau début des années 2000, aidé par le bouche-à-oreille. Thom Yorke, principal compositeur de Radiohead, ayant particulièrement apprécié l’album "Un bon début", permis à Sigur Rós de jouer en première partie de la tournée européenne de Radiohead (fin 2000, après la sortie de Kid A). Cette exposition à un large public amateur de musiques actuelles ainsi que la présence de trois morceaux (Ágætis byrjun, Svefn-g-englar ainsi qu’une version enregistrée en concert de Njósnavélin, qui sortira sur le 3e album) dans le film Vanilla Sky de Cameron Crowe, sorti en 2001. La collaboration avec Radiohead se poursuit toujours à l’heure actuelle.
Noir Désir
"On n’est pas encore revenu du pays des mystères
IL y a qu’on est entré là sans avoir vu de la lumière
Il y a l’eau, le feu, le computer, Vivendi et la terre
On doit pouvoir s’épanouir à tout envoyer enfin en l’air
On peut toujours saluer les petits rois de pacotille
On peut toujours espérer entrer un jour dans la famille
Sûr que tu pourras devenir un crack boursier a toi tout seul
On pourrait même envisager que tout nous explose à la gueule
Autour des oliviers palpitent les origines
Infiniment se voi rrouter dans la farine
A l’envers, à l’endroit, à l’envers, à l’endroit
A l’endroit, à l’envers, à l’envers, à l’endroit..."
Michel Gondry est un réalisateur de cinéma et de vidéo ainsi qu’un musicien.
Il y a souvent un peu d’épate chez Gondry, des effets qui étonnent les professionnels de l’image plus encore que le public : comment fait-t-il ça ? Il faut dire que Gondry évite d’appliquer les solutions prêtes-à-porter, il invente ses propres outils de travail. Et même lorsqu’il utilise des techniques pour lesquelles des outils logiciels ou matériels existent, il le fait de manière très personnelle...
Mais qui a bien pu entrer dans la peau de Christopher Walken ? Probablement Richard Koufay, le chorégraphe le plus loufoque du monde, un urluberlu qui avait déjà sévi en 1999 sur le Praise you de Fat Boy Slim. Tout commence dans un hall d’hotel désert, avec le Christopher Walken que l’on connait bien, celui de Voyage au bout de l’enfer et de Pulp Fiction. Avachi dans une chaise, le célèbre acteur au visage patibulaire fusille la caméra du regard. Mais au lieu de dégainer le Magnum 357, il commence à bouger de la tête au rythme du mix funky qui l’envahit peu à peu. Soudain, son corps tout entier est happé par la musique, et c’est le début du spectacle : L’oeil rivé sur la caméra, Christopher Walken est devenu un autre homme; un zouave dégingandé au visage illuminé, qui prend des poses curieuses, singe des mouvements approximatifs, et ne tarde plus à investir tout le hall de l’hôtel. Des escalators aux chariots, en passant par les portes d’ascenseurs, il caracole de pirouettes en claquettes...
Fatboy Slim:
Il remixe de nombreux standards
Il rejoint le collectif d’artistes Beats International, avec lequel il participe à quelques gros succès au Royaume-Uni.
Il fonde le groupe Freakpower en s’associant au chanteur Ashley Slater.
Mais ce sont les Chemical Brothers qui vont l’encouragee à se lancer dans une carrière "big beat", ce qu’il va faire dès son premier album Better Living Through Chemistry (1997). Il pose ainsi les bases de son style : un mélange de hip hop, de r’n’b et de dance.
Le Chevalier Arthur voyage dans la grande forêt. Mais il s’égare, son cheval s’enfuit et il a de plus en plus de mal à se mouvoir face aux éléments qui semblent se liguer pour le pousser dans une direction bien précise, celle d’un mystérieux manoir.
En pâte à modeler, à l’aide d’un personnage à la plastique épurée, Guionne Leroy raconte en quatre minutes une histoire dans laquelle la nature prend vie et impose sa volonté propre au voyageur égaré.
Le film s’ouvre sur une citation : « L’animal est un homme doué de raison » ensuite les images et les époques défilent au rythme d’une musique entêtante.
Prix de la Presse à Clermont-Ferrand, Mention Spéciale du Jury à Vebron, Mention du Jury Jeune à Brest et à Vendôme…
C’est à travers un poème visuel et musical que le spectateur déambule dans une cité foncièrement métissée.
Le rythme du djembé l’emporte, à travers une "jungle rythmique", vers le pays mandingue en Afrique de l’Ouest où la danse rythme la vie de chaque être.
Le film raconte l’histoire d’un faisceau de lumière qui tombe d’une note de musique. C’est aussi un hommage au musicien Chet Baker... C’est la musique d’une légende, le portrait d’une romance.
Prix de la Presse à Chalon-sur-Saône, César du meilleur court métrage documentaire…
L’histoire exemplaire de deux groupes de la scène indépendante américaine vue de l’intérieur : les Brian Jonestown Massacre de San Francisco et les Dandy Warhols de Portland. Unis au départ par un même esprit de révolte et de création, par une admiration réciproque, chacun va gérer à sa façon le tiraillement entre ses aspirations artistiques et sa soif de notoriété.
Ondi Timoner a filmé plus de 1500 heures, près de sept années les parcours de ces deux enfants du rock.
Road movie, Rock movie ou Rock docu, une plongée dans l’univers du rock indé des années 2000...
"Plus destroy que le match Beatles-Stones, plus bandant que le faux duel Blur-Oasis, cette collision de deux parcours inversement linéaires et son cortège de haines rampantes était l’alibi idéal pour en remettre une couche sur les mythes du rock." (Rolling Stones - Grégory Alexandre)
Grand Prix du documentaire au festival de Sundance 2004 (USA)
En poursuivant votre navigation sur ce site ou en cliquant sur le bouton "Accepter", vous acceptez l’utilisation de Cookies nous permettant de réaliser des statistiques de visites.
En Long et en Courts