Aujourd'hui, je n'assistais pas
à une projection d'images et de sons ; j'assistais
à l'action visible et instantanée qu'ils exerçaient
les uns sur les autres et à leur transformation. La
Pellicule Ensorcelée.
Robert Bresson Notes sur le cinématographe.
Mais qui a bien pu entrer dans la peau de Christopher Walken ? Probablement Richard Koufay, le chorégraphe le plus loufoque du monde, un urluberlu qui avait déjà sévi en 1999 sur le Praise you de Fat Boy Slim. Tout commence dans un hall d’hotel désert, avec le Christopher Walken que l’on connait bien, celui de Voyage au bout de l’enfer et de Pulp Fiction. Avachi dans une chaise, le célèbre acteur au visage patibulaire fusille la caméra du regard. Mais au lieu de dégainer le Magnum 357, il commence à bouger de la tête au rythme du mix funky qui l’envahit peu à peu. Soudain, son corps tout entier est happé par la musique, et c’est le début du spectacle : L’oeil rivé sur la caméra, Christopher Walken est devenu un autre homme; un zouave dégingandé au visage illuminé, qui prend des poses curieuses, singe des mouvements approximatifs, et ne tarde plus à investir tout le hall de l’hôtel. Des escalators aux chariots, en passant par les portes d’ascenseurs, il caracole de pirouettes en claquettes...
Fatboy Slim:
Il remixe de nombreux standards
Il rejoint le collectif d’artistes Beats International, avec lequel il participe à quelques gros succès au Royaume-Uni.
Il fonde le groupe Freakpower en s’associant au chanteur Ashley Slater.
Mais ce sont les Chemical Brothers qui vont l’encouragee à se lancer dans une carrière "big beat", ce qu’il va faire dès son premier album Better Living Through Chemistry (1997). Il pose ainsi les bases de son style : un mélange de hip hop, de r’n’b et de dance.
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